des mensonges maquillés au contouring

nom complet — Andrea buckley, un prénom aux allures parfois féminines, pourtant il n'en est rien quand on finit par s'apercevoir à qui il appartient. Faut dire qu'il a ses allures et origines italiennes appartenant à leur mère. Qui, le prénom, ou l'homme ? A vous de décider. âge et lieu de naissance — trente-deux ans qu'il est dans le coin à se mouvoir entre les rues et nombreuses avenues. Trente-deux ans d'ambition et d'avenir certain. Le cap de la trentaine n'a pas été compliquée pour lui, il en est fier de ces trente-deux ans. Contrairement à suki, lui, il est né dans les "normes" c'est à dire à new-york, faut croire que cette fois le patriarche buckley a réussi à garder sa femme au calme et lui éviter tout voyage. nationalité et origines — Pour le coup, on ne peut pas passer à côté des différentes origines des buckley. Si du côté de leur père, rie ne semble trop compliqué, des américains purs souches, du côté de leur mère ça se complique un peu plus. Prenez du sang italien, mélangez le à un peu de sang vénézuélien et le tout avec des origines anglaises et voilà, c'est fait. Peut-être faut-il juste retenir qu'Andréa est américain, le reste se ressent dans son caractère. orientation sexuelle — Les courbes féminines ont toujours été sa plus grande faiblesse, parfois il ne sait même pas y résister. Il devrait, il pourrait mais parfois il n'en a même pas envie. Sentir leur peau si douce, toucher leurs courbes voluptueuses et voir le désir dans leur regard. Une faiblesse.  statut civil — Actuellement célibataire, on peut le dire. Ou peut-être coincé, maqué, marié à son travail, ça reste à déterminer. Ce n'est pas qu'il n'a pas eu d'histoire dans sa vie, au contraire, mais faut croire qu'aucune n'a jamais tenu, même si lui, de son côté, n'en a jamais oublié aucune. occupation — L'écriture a toujours été dans ses veines, alors qu'il n'était encore qu'un adolescent il écrivait et enchaînait bien des mots. Journaliste pour le journal du lycée, il a fini par devenir journaliste sportif pour le cosmopolite dès son ouverture il y a un an. Il voit grand, il voir gros, il rêve de plus, il rêve de gravir les échelons. situation financière — La famille buckley n'a jamais manqué de rien, et c'est le cas d'Andrea qui n'a donc jamais manqué de rien. L'argent est une puissance comme une autre. Andrea est proche de ses sous, il aime dépenser, ce n'est pas le problème, mais il paniquerait s'il se retrouvait avec plus rien du jour au lendemain. Ca ne devrait pas arriver mais sait-on jamais. situation familiale — Une belle famille, des parents qui s'aimaient et s'aiment toujours puis des enfants. Une belle fratrie qui a pourtant été déchiré bien trop tôt, bien trop vite. Un malheureux accident, la perte d'un frère qui restera toujours gravé.. Pourtant Andrea n'a jamais rêvé de bâtir sa propre famille. traits de caractère — Caractériel, têtu, obsessionnel, passionné, maniaque, protecteur, jaloux, possessif, malin, intelligent, charismatique, renfermé, colérique, vexant et facile à vexer, ne se gêne pas pour juger les autres... mais bienveillant, aimant et généreux avec ceux qui comptent même s'ils sont peu.avatar — devran taskesen groupe — coffee.

QUELLES SONT VOS qualités DANS VOTRE TRAVAIL ? (question générale) tu n'as pas peur de dire que tu as de nombreuses qualités dans ton travail, faut dire que tu sais que tu n'as pas que des qualités dans ta vie personnelle, faut bien que ça te serve à quelque chose d'être un obsessionnel du contrôle, non ? t'es l'homme bosseur qui n'a pas peur de rester jusqu'à vingt-trois heures tant qu'il n'a pas bouclé son article. tu fais passer ton travail avant le reste, si ce n'est avant ta soeur, n'exagérons pas non plus. suki d'abord, le travail ensuite, puis le reste s'il y a encore du temps. Une troisième qualité ? tu es passionné, passionné par ce que tu fais, par les remarques qui peuvent apparaître. dès qu'un numéro sort, tu es rapidement en train de lire les avis, les critiques, tout.

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ET QUELS SONT VOS défauts ? (question générale) Honnêtement, tu n'en as pas beaucoup, si ce n'est que tu n'aimes pas perdre. L'échec, tu ne le supportes pas alors.. Si ton article n'est pas sélectionné, tu sais que tu peux mal le prendre, tu sais que tu peux faire en sorte de descendre la personne qui aura été choisi. t'as pas forcément ce qu'on appelle l'esprit d'équipe au contraire. toi avant les autres, ce qui peut parfois te poser bien des problèmes.

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QUE PENSEZ-VOUS DE LA compétition ENTRE ELEGANCE ET COSMOPOLITE ? (question générale) tu as l'esprit de compétition alors forcément tu t'y intéresses mais pas plus que ça parce qu'avant de débarquer à cosmopolite tu ne t'intéressais pas tant que ça au second journal. maintenant, tu ne peux plus vraiment le dire, puis que tu ne perds pas une minute pour lire ce qu'ils font, juste pour rester dans le coup. tu ne peux pas dire que tu ne penses que du mal de ce qu'ils font au contraire, mais de là à aller le clamer haut et fort ? jamais.

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POURQUOI TRAVAILLEZ-VOUS POUR COSMOPOLITE ? tu travailles pour cosmopolite et non pour elegance par exemple parce qu'ils ont une vrai chronique sportive qui ne se rapproche en rien de bien être, santé et ces stupidités. donc tu travailles pour cosmopolite parce qu'il y a tout à faire, de l'ambition et des opportunités que tu ne veux pas voir passer sous le nez. tu apprécies le contenu, dans son ensemble et t'es fier de représenter le journal.

01 - Une enfance plutôt paisible, du côté des beaux quartiers de New-York. Faut dire que les parents Buckley avaient large les moyens pour offrir une belle à toute la fratrie. Deux fils aînés, une princesse et enfin un petit dernier, le dernier petit prince. Un enfant au milieu, qui ne cherchait pas à se faire remarquer, faut croire que très jeune, tu as pris du côté de ton père. Le côté froid, distant, qui essaie d'être en retrait toujours. Pas besoin d'avoir plus que ça quand on possède une mère qui ne lésine pas sur les démonstrations d'affection. Personne ne peut dire qu'elle n'aime pas ses enfants, bien au contraire, elle les a tous toujours aimé.
02 - Peut-être que dans toute famille il y a une tragédie. Peut-être que c'est ainsi que ça doit se passer. T'as jamais su pourquoi, t'as jamais compris et t'as jamais su expliquer non plus mais c'est arrivé. Un épisode tragique, votre épisode tragique. Un jour, elle est revenue seule, désemparée, brisée, cassée, Suki. Tu n'as jamais su ce qu'il s'est passé, pas en détail, des bribes de mots, d'action. De l'eau, un saut, et un corps qui n'a pas survécu qui n'a pas supporté. A partir de ce moment là, t'as compris une chose importante : Suki était tout pour toi et tu n'avais pas le droit de lui en tenir vigueur. Elle n'avait pas besoin de ça en plus et c'est sûrement à ce moment là que le lien fraternel qui vous unissait est devenu un peu plus fort encore. Prêt à tout pour ta soeur, t'es devenu ce grand frère que tu ne pensais pas être, que tu ne pensais pas être un jour. Peut-être que tu as décalé l'amour pour ton petit frère vers Suki, peut-être que tu as enfermé la peine pour ne pas l'affronter, tu ne saurais dire...
03 - Tu n'as jamais parlé de ta peine, de cette souffrance d'avoir perdu ton petit frère. Souvent tu te souviens de ce jour, tu le vois partir bras dessus, bras dessous avec Suki sans jamais te rendre compte que ce c'était la dernière fois que ça arrivait. Si tes parents ont été détruit, t'as gardé la tête haut, jusqu'au bout. T'as pourtant fini par craquer, mais c'est dans les bras de ta meilleure amie que t'as sombré. Une seule fois. une seule et unique fois. Delilah. C'était sûrement bien plus facile parce qu'elle habitait loin, parce qu'elle n'était pas là pour te juger, pour te regarder avec ses yeux emplis de pitié. C'est la seule fois où tu as échappé le mal que tu avais en toi.
04 - Le sport, t'en as toujours fait, beaucoup. Faut dire qu'il fallait évacuer tout ce qui pouvait s'accumuler dans tes muscles. A toujours être froid et distant, fallait bien que ça sorte à un moment donné alors c'est comme ça que tu as commencé dans une équipe au lycée. Le backet, un sport comme un autre qui te permettait pourtant de t'épanouir. Avec ta soeur et ses patins et toi et tes ballons de basket, vous auriez certainement pu devenir deux petites légendes si seulement tu ne t'étais pas blessé. Une erreur de parcours qui t'a pourtant valu de fermer la porte à un rêve que tu avais à peine envisagé.
05 - Au lycée, tu écrivais, parfois pour toi, d'autres fois pour le journal du lycée, tu faisais parti des petites mains qui alignaient des lettres, puis des mots, pour construire une actualité et informer la jeunesse de ce qu'il se passait. A l'époque, tu n'en parlais que très peu, t'avais pas encore la force et la fierté d'avouer ce que tu faisais. Les apparences et le regard des autres étaient encore bien trop important à tes yeux.
06 - Tu as grandi, et t'es parti faire ce qui te semblait le mieux, des études de journalisme à l'université de columbia. Ca a été une des périodes les plus compliqué de ta vie parce que tu étais dans l'obligation de te séparer de ta petite soeur. Ca n'a pas été simple au début. T'avais peur au fond de toi, Andrea, t'avais peur de fermer la porte et de ne plus la revoir. Malgré tout, tu es parti et tu as retrouvé Delilah. Un petit appartement, une chambre chacun et une vie en collocation avec mille et une péripétie. Tu ne peux pas dire que vous avez toujours été sage, il y a bien eu quelques dérapages incontrôlés entre vous, mais au final, tu ne l'as jamais considéré autrement que comme ta meilleure amie. Bien heureusement, sinon aujourd'hui, tu ne serais plus en contact avec elle. Vous avez fini par réussir vos études et ça, c'est ce qui était le plus important.
07 - La vie loin de la maison n'était pas si mal, et c'est comme ça que t'es devenue ce maniaque du contrôle qui balance des étiquettes à qui veut bien croiser ton chemin. T'es loin d'être un homme indulgent, tu juges beaucoup, trop diraient certains, mais t'es ainsi fait. T'as pas envie de creuser, rarement. T'es pas asocial, mais t'es dans l'extrême comme certains diraient. Soit on t'apprécie soit on te déteste.
08 - Comment tu as atterri à Cosmopolite ? Simplement. Tu t'es dirigé dans une petite boîte, tu écrivais des articles pour un petit journal du coin sur des sportifs du coin. Faut dire que tu n'as jamais perdu ce goût du sport, alors si tu ne pouvais pas aller plus loin, autant vivre la vie des autres. Parfois, t'es amer, mais tu essaies encore de te soigner de tout ça. Alors tu écrivais pour des petits trucs jusqu'à finir par écrire pour une chaîne télévisée spécialisée dans le sport. Quand tu as entendu parler de l'opportunité d'un nouveau style de journal chez steineim publication, quelque chose de moderne avec une belle place pour toi. Tu as signé deux jours après et depuis tu es obsédé par ton travail comme jamais, avec cette envie d'aller toujours plus loin.
09 - Avec les femmes, tu n'as jamais eu beaucoup de chance, en même temps, tu ne leur accordes pas vraiment beaucoup de chance. T'es pas un infidèle, ni un coureur de jupons, mais faut dire que tu as ton truc, ton style, tes envies et qui ne sont pas toujours partagés. Tu aimes contrôlé tout en étant libre avec ta propre liberté. Tu aimes tout savoir, tout en étant dans ton petit coin. Alors forcément, ça ne fait pas toujours bon ménage. Tu peux être passionné, vivant, amoureux même.. Mais tu finis toujours par revenir à tes vieux démons et te lasser comme tu t'es lassé d'elle.. Pendant un temps. Une semaine, tout au plus, jusqu'à ce qu'elle revienne au galop dans ton esprit.
10 - En attendant de monter en grade, de reconquérir une femme - pour la perdre peu de temps après - tu continues ton train de vie. Tu prends des nouvelles de ta soeur le plus souvent possible, partageant des dîners avec elle. Tu prends également le temps de voir ta meilleure amie, travaillant au même endroit que toi. Chaque matin, tu vas te perdre sur les coins les plus verdoyant de New-York pour te vider de tes forces pendant un jogging avant de revenir pour boire ton café, une clope entre les doigts. Tu aimes le vin, les plaisirs simples, faut pas croire tout ce qu'on dit sur toi. T'as beau être un tyran la plupart du temps, Suki dirait que tu aimes le plus extraordinaire sur terre.