Play me like a violin — (Adrian)

nom complet — Adrian, prénom choisi par sa mère alors que son père à simplement exigé le second prénom, Walter, en référence au patriarche de la famille. Shapiro, un nom qui à un impact et ça lui a toujours plu. Ce nom reflète la fierté de toute la famille.  âge et lieu de naissance — Trente ans pour le moment, mais le 4 juillet, il attendra le cap supérieur. C’est un retour au point de départ puisqu’il est né ici même, à New-York. nationalité et origines — Américain de naissance et d’origines. Du sang anglais coule tout de même dans ses veines grâce à sa mère. orientation sexuelle —Hétéro. Il ne l’a jamais vu autrement, à vrai dire, il ne s’est jamais vraiment posé la question. Son instinct l’a toujours poussé vers les courbes féminines. Les femmes, elles le fascinent autant qu’elles l’envoûtent. statut civil — Il y a eu de longues périodes à enchaîner les filles, se lasser très vite et passer à la suivante. Pourtant, aujourd’hui, c’est un homme fiancé, amoureux de sa belle italienne, sentant la tempête se profiler à l’horizon.  occupation — Avec une passion pour l’immobilier, il s’est très vite détaché de l’affaire de famille pour se tourner vers l’architecture. Après ses études dans le domaine, il est devenu marchand de biens, achetant et rénovant des vieux bâtiments. situation financière — Venant d’une famille comme la sienne, l’argent est une broutille. Ils en ont toujours eu plus que nécessaire. Avec une compagnie pétrolière, ils sont assurés d’avoir un avenir tout aussi aisée. situation familiale — Seul garçon des trois enfants Shapiro, il est très proche de ses deux sœurs. Ils ont dû apprendre à se serrer les coudes dans une famille à l’éducation et aux valeurs très strictes. traits de caractère — Impulsif, arrogant, franc, orgueilleux, sportif, charmeur, loyal, possessif, joueur, fier, protecteur, sarcastique, passionné, fêtard, sociable, loyal avatar — Chris Evans groupe — COFFEE.

QUELLES SONT VOS qualités DANS VOTRE TRAVAIL ? Ses plus grandes qualités dans son travail sont sa rigueur, mais surtout sa passion. Il aime ce qu’il fait, il est déterminé et il pourrait passer des jours entier à inspecter ses plans, à les refaire encore et encore jusqu’à ce que tout soit parfait. Légèrement perfectionniste sur les bords, il ne laisse passer aucun détail. L’exigence est de mise, autant pour lui que pour les personnes avec qui il travaille. Il peut être assez dur en affaire pour la moindre petite erreur détectée dans le travail de quelqu’un.

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ET QUELS SONT VOS défauts ? Adrian marche à l’instinct, autant, il peut avoir un coup de génie tout de suite, autant, il peut passer des semaines à essayer de trouver ce qui cloche. Une qualité qui se transforme vite en défaut quand il perd du temps sur une broutille. Très impatient, il s’énerve souvent contre lui-même et tous ceux autour de lui quand il ne trouve pas quelque chose assez vite. Il se frustre et la communication est parfois difficile dans ce genre de période.

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QUE PENSEZ-VOUS DE LA compétition ENTRE ELEGANCE ET COSMOPOLITE ? La compétition, il s’en fiche un peu et trouve ça complètement dérisoire. Si ça ne l’atteins pas vraiment mais, ça le fait au moins sourire. Il s’amuse à voir une compétition qui n’a pas lieu d’être et l’engouement des gens pour ce débat sans fin.

A QUEL MAGAZINE VA VOTRE préférence ? À choisir, il irait vers Cosmopolite qui contient plus de rubriques qui l’intéresse. Pour lui, Elegence, c’est le magazine que ses sœurs lisait et laissaient traîner dans la maison durant leur adolescence. Il s’amusait déjà à l’époque des chroniques existantes et continue de le faire aujourd’hui. Bien qu’il soit un adepte des journaux plus que de magazines, il se retrouve à lire de plus en plus Cosmopolite depuis que sa fiancée y travaille.

(01)— La famille Shapiro, c’est un père peu présent, accroché à son téléphone quand il est en famille. Une mère aimante, mais très occupée par ses activités prenantes de la haute société. Une fille ainée intelligente et responsable qui a toujours su chaperonner les deux autres. Il y a Adrian, le petit chenapan qui n’a apprit qu’en grandissant à suivre les règles de bonne conduite. Et il y a la petite dernière, l’esprit libre de la famille. La règle d’or des Shapiro à toujours été de bien se comporter en société, toujours faire bonne figure, le moindre écart est difficilement pardonné. —(2)— L’éducation très stricte des établissements privés New-Yorkais a façonné Adrian. Le petit fanfaron, plus intéressé par les rires de ses camarades à ses blagues qu’aux cours en eux même. Il lui fallait un cadre, une remise en place constante, mais, les efforts, ce sont les parents qui en payaient littéralement le prix. —(3)— Les vacances en Angleterre, sa bouffée d’air frais. Du plus loin dont il se souvienne, le voyage en avion l’a toujours fasciné. Le nez collé à la vitre pour regarder les nuages, le bonheur du gamin dépendait de son expérience dans les airs. Il suffisait d’un bon voyage pour qu’il apprécie tout le reste. —(4)— Adrian fut soulager de voir sa sœur ainée prendre le chemin, qu’à l’origine, son père avait tracé pour lui. Elle s’en sortait avec brio, laissant sa chance au seul garçon de la tribu de choisir son propre itinéraire. C’est tout naturellement que le jeune homme s’orienta vers l’architecture. Construire des cabanes avec son grand-père et ses cousins restant un de ses meilleurs souvenirs d'enfance. —(5)— New-York, cette ville le fascine. Confiné à Manhattan pendant de longues années, ce n’est que pendant sa période universitaire qu’il s’est enfin décidé à bouger. Il partait parfois des journées entières pour explorer des recoins de la ville dont il n’avait pas imaginé l’existence. L’œil presque enfantin, émerveillé par des petites choses, des détails qu’il apprenait à voir au fur et à mesure. —(6)— Après l’université, il a fait ses armes dans un gros studio d’architecture. Une fierté pour lui d’avoir réussi à se faire embaucher sans que son père le pousse. Malgré tout, cette liberté avait un prix. Son père n’intervenait pas dans ses choix de carrière s’il acceptait une relation arrangé. Cette tournure de situation, il l’avait vu venir à des kilomètres. Les mariages arrangés étaient monnaie courante dans la famille, il suffisait d’observer le mariage de ses parents. Il n’avait pas eu le meilleur modèle d’amour. Il y avait eu des périodes d’affections entre ses parents, c'est sûr, mais il les avait vu s’effacer au fil du temps pour laisser place à une cordialité simple. Et ce fut lui, celui qui ne croyait pas en l’amour, qui fut le premier surpris par l’effet qu’elle à eu sur lui. Sans comprendre réellement comment ça lui était tombé dessus, il s’était laissé porter dans cette relation sans y mettre la moindre résistance. —(7)— C’est étonnant comme tout peu basculer en une fraction de seconde. On dit souvent qu’on voit sa vie défiler de ses yeux avant de mourir. Adrian, lui c’est son futur qu’il a vu défiler et s’effacer devant lui quand on lui annonça l’accident. Tout était tracé pour eux. Des carrières sur une pente ascendante, un mariage à venir… L’accident de voiture l’a détruit. La dureté de la vie l’a frapper en pleine face, une bonne grosse gifle qu’il n’avait pas vu venir. Avec sa belle dans le coma, il avait fait de cette chambre d’hôpital sa deuxième maison pendant des semaines. Il a attendu, se brisant un peu plus chaque jour. Et puis du jour au lendemain, il a sauté dans le premier avion venu. Passant de villes en villes, il suivait la fête perpétuel. Tout lui paraissait dérisoire, a quoi bon travailler ou construire quelque chose si du jour au lendemain tout disparaît en une fraction de seconde ? Les shoots de bonheur instantané lui paraissaient une meilleure option à l’époque. Il tentait de réparer son cœur avec les joies de fêtes sans fin, du corps de femmes plus belles les unes que les autres et un attrait un peu trop intensif au sport. —(8 )— Déformation familiale sûrement, mais Adrian n’a pas l’habitude qu’on lui résiste. Il a toujours eu ce qu’il voulait et quand son regard s’est posé sur Carla, il a su qu’il la voulait elle. La belle blonde a complètement effacé toutes les autres femmes de la pièce ce soir-là. Il n’avait d’yeux que pour elle, sa résistance ne faisant qu’accroître l’intérêt qu’il lui portait. Le challenge qu’elle représentait était bien plus attractif à cet instant que la carapace qu’il avait mis tant de temps à se construire. Avec elle, son sourire paraissait de nouveau sincère, les habitudes qu’ils avaient pris durant ces années étaient dures à faire partir, mais il essayait.—(9)— Continuant son périple de ville en ville, mais cette fois avec Carla à ses côtés, Adrian a reprit goût du travail. Petit à petit, il a commencé à acheter des vielles propriétés, travailler sur des plans, les refaire, encore et encore. Laissant la rénovation de ses achats à d’autres personnes, il pouvait se permettre de voyager autant qu’il le souhaitait. —(10)— L’idée de revenir à New-York lui a longtemps traversé l’esprit. Il était en fuite depuis trop d’années. Avec la blessure de Carla, tout a été remis en perspective. Ils n’étaient plus obligés d’être en mouvement constamment. Lui qui essayait de faire tout ce qu’il pouvait pour qu’elle garde le moral voyait en New-York une bonne façon de s’occuper l’esprit. Une nouvelle ville, un nouvel appartement, et même un nouveau travail pour elle. Il était persuadé que ce serait une bonne occasion pour eux de se poser, apprendre à vivre leur relation d’une autre façon.