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 storm with skin (riley)

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Riley Rose
Riley Rose
can't afford to fail

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MessageSujet: storm with skin (riley)   storm with skin (riley) EmptySam 28 Avr - 22:48



riley rose
i'd agree with you but then, we'd both be wrong.
nom complet —riley rose (pourvue d'épines), du nom béni des parents qui ont recueilli l'orpheline âgée de seulement quelques mois. âge et lieu de naissance — brooklyn baby, too cool for you. riley a vu le jour au mois de novembre quatre-vingt neuf, et l'ironie veut qu'elle a rampé pour s'extraire de l'utérus maternel au moment où d'autres détruisaient le pire symbole de la guerre froide : le mur de berlin. nationalité et origines — américaine. mais riley, elle est un prisme aux multiples reflets. parce qu'elle l'apprendra sur le tard, mais sa génitrice était estonienne et n'a jamais voulu l'abandonner. son géniteur est vraisemblablement afro-américain, comme l'un de ses papas, fier de ses racines sudistes. quant à l'autre, il est mexicain et riley, elle s'est nourrie de toutes ces cultures pour grandir et s'affirmer. alors elle est américaine, oui mais elle est de partout et nulle part à la fois et ça lui va. orientation sexuelle — riley déteste les étiquettes qui entravent et enferment dans des cages aux barreaux féroces qu'elle ne désire pas. elle, elle refuse de mettre un mot sur ses sentiments. riley, elle a déjà pratiqué le polyamour et se considère comme pansexuelle. sauf que c'est un peu hypocrite parce que la vérité, c'est qu'elle aime les femmes. elle peut en aimer plusieurs, elle peut aimer une femme coincée dans un corps d'homme qui n'est pas le sien, mais c'est la féminité qui l'attire, derrière sa grande gueule qui prétend bouffer à tous les râteliers. statut civil — le chaos, le bordel, les montagnes russes permanentes. elle est officiellement célibataire, riley qui aime si mal, trop vite, trop fort, trop peu longtemps. riley qui chérit sa liberté et blesse sans le vouloir, égoïste devant l'éternel, sale môme aux désirs capricieux qui veut, exige et abandonne, qui déteste mettre des mots sur les maux. mais son célibat est factice, un foutu mensonge, parce qu'elle irait lui décrocher la lune si jo désirait la serrer entre ses phalanges. elle est éprise, riley et si son coeur d'artichaut s'accorde souvent à d'autres danses, elle a appris à verrouiller ses sens pour mieux écouter ce que lui chante la jolie voix de la raison, celle qui susurre son nom. sauf qu'elle a merdé en beauté riley, en cloques sans avoir le moindre souvenir d'un homme entre ses reins, elle qui sait louer leur beauté, mais n'a jamais eu envie d'eux. elle peut compter sur les doigts d'une main, les ébats masculins. le premier à quatorze piges, pauvre môme attendant de ressentir les papillons dans le ventre et les orgasmes pornographiques et le dernier dans les années maudites, le mannequinat. nez dans la poudre et os saillants, elle avait cédé aux sirènes d'un plan à trois avec un photographe de renom dans le seul but de se taper sa bombe de copine. alors sérieusement, jo lui en veut à en crever mais riley ne comprend pas, certaine d'être incapable de merder à ce point. sauf que si. et putain, c'est ironique pour une rédactrice sexo de plonger dans un tel bourbier, elle qui encense la capote comme un prêtre le mariage. occupation — journaliste sexo décomplexée au sein du magazine elegance, elle cherche à arracher à mains nues la gêne, la pudeur et la diabolisation qui règne encore parfois autour du sexe. tantôt pédagogue, tantôt cash, elle alterne les articles sérieux et les vidéos ludiques, évoque toutes les formes d'amour et milite dans la sphère privée pour que chacun ait le droit d'aimer qui il veut, comme il veut, quand il veut, dans le consentement et le respect mutuel et sans le moindre putain de jugement. situation financière — correcte. si son salaire tire la tronche, riley a eu le bon goût d'épargner pendant sa brève et fulgurante carrière dans le mannequinat, ce qui lui permet de piocher chaque mois pour apaiser son découvert. situation familiale — royale. rien à signaler, c'est une fille à papas. avec un s, parce qu'ils sont deux, toujours ensemble aujourd'hui et riley les aime d'un amour infini, étouffant, et les couve d'une dévotion sans pareille. il y a mike, l'afro-americain flegmatique, toujours bien apprêté et amoureux de jazz et puis lito, le mexicain au sang chaud, trapu et exubérant. à eux deux, ils forment une entité supérieure qu'elle admire plus que tout, un power couple que rien ni personne ne saurait jamais égaler : brouillon, mais brillant. à ce portrait rêvé s'est longtemps ajouté maman, pour qui riley a souhaité devenir mannequin. mais maman au destin tragique a été emportée trop tôt et ne s'est jamais tout à fait remise de ses années de captivité. traits de caractère — effrontée, insoumise, libre, libérée, indépendante, excessive, égoïste, fière charismatique, grande gueule, inconstante, sensuelle, magnétique, colérique, faussement insouciante, ingénieuse, talentueuse, manque parfois d'empathie, capricieuse dans ses envies et ses désirs, investie, loyale, dispersée, créative, portée sur les plaisirs de la vie (la bouffe, le cul, l'alcool), tolérante, cool, désaxée, plus insecure qu'il n'y paraît, blessante, un rien sauvage ... avatar — zoe kravitz. groupe — tea.

QUELLES SONT VOS qualités DANS VOTRE TRAVAIL ? (question générale) riley est passionnée. elle croit en ce qu'elle écrit ou raconte en vidéo et surtout, a la sensation d'être utile, de divulguer une vision saine et décomplexée du sexe, d'aider les générations futures à mieux appréhender leur intimité et de pimenter joyeusement les galipettes de ses pairs. la tête dans le guidon et la sincérité sans langue de bois comme mantra, riley est de ces journalistes intègres qui donnent envie de croire à nouveau en l'humanité. sinon, c'est surtout une nana cool avec qui partager un bureau ou un café sans craindre une rivalité de cour de récré. si riley ne t'aime pas, tu le sauras.

ET QUELS SONT VOS défauts ? (question générale) si riley s'investit dans son travail, elle a un gros problème avec l'autorité et déteste devoir rendre des comptes ou respecter des deadlines. c'est la nana qui arrive à la bourre avec une gueule de bois monumentale et ne s'excuse absolument pas, pensant sincèrement que son génie créatif pardonne toutes ses frasques. électron libre, elle est loin d'être corporate et a la fâcheuse tendance à n'en faire qu'à sa tête. affirmer qu'elle est sur la sellette malgré un talent indéniable serait un doux euphémisme.

QUE PENSEZ-VOUS DE LA compétition ENTRE ELEGANCE ET COSMOPOLITE ? (question générale) riley s'en moque. la compétition de base, ce n'est pas sa came alors clairement, la rivalité entre deux magasines ... elle a d'autres chats à fouetter, elle militante devant l'éternel, engagée chez les démocrates et de toutes les manifestations féministes. elle s'en fout, royalement. d'ailleurs, si elle n'était pas rédactrice sexo chez l'un, elle écrirait sur la politique chez l'autre, c'est dire. d'ailleurs, avec sa loyauté professionnelle plutôt fluctuante, elle ne s'interdit pas de le faire un jour ou l'autre.

POURQUOI TRAVAILLEZ-VOUS POUR ELEGANCE ? on ne va pas se mentir, ce n'est clairement pas une aspiration. riley n'a jamais su ce qu'elle aimerait faire dans sa vie et son seul choix de carrière (le mannequinat) a globalement été la pire décision de toute son existence ... non, elle, elle se laisse porter par les opportunités plutôt que par ses ambitions inexistantes et reste chez elegance parce qu'ils lui filent du fric à la fin de chaque mois et lui offrent une tribune, de quoi éveiller les consciences et aider les nanas à être plus sûres d'elles et à affirmer leurs désirs, leurs envies, leurs poils, leurs sextoys et leurs pornos parce que putain, tout ce que les hommes ont, tout ce qu'ils font, elles y ont le droit bordel.


(supprimez la question qui ne s'applique pas à votre groupe)

one. riley, elle a longtemps tout ignoré de ses origines. retrouvée dans une poubelle du queens, encore vagissante, elle a été conduite par la police dans un orphelinat de banlieue. heureusement pour elle, le destin aurait pu s'acharner, mais il a choisi de la préserver : elle a été adoptée, à peine âgée de sept mois. c'est à ces parents-là, qui l'ont choisie, elle aux grands yeux vifs, qu'elle doit tout et qu'elle aime infiniment. et derrière son aplomb et sa verve affûtée, riley est une publicité vivant témoignant qu'un enfant peut être heureux dans une cellule homosexuelle, pour les connards étriqués qui en douteraient encore. two. môme de classe moyenne, riley n'a jamais manqué de rien et dire qu'elle a été pourrie gâtée ne suffit pas à décrire la réalité de son enfance joyeuse et insouciante. protégée, couvée, choyée à l'extrême, comme s'il fallait effacer un passé douloureux dont elle n'avait pas conscience, riley aurait pu être de ces gamins capricieux, imbuvables, ceux qui transforment l'éducation en cauchemar sans fin. mais non, elle, ce qu'on lui reprochait, c'était son calme, son indifférence face aux poupées, aux jouets rose bonbon et aux jolies robes, inquiétant pour des papas zélés, désireux d'offrir le monde entier à leur fille unique. son premier mot ? non. un non féroce, du fond de ses entrailles, le non absolu d'antigone, le nihilisme poussé à l'extrême. quand d'autres prononcent papa ou maman, elle, elle a dit non, refusant déjà tout de go de devenir ce qu'on attendait d'elle dans une affirmation de soi étonnante pour une si petite fille.  three. son rapport à la sexualité est arrivé sans crier gare : elle est trop vite devenue belle, riley, adolescente sans y être préparée, mal armée contre les changements d'un corps aux os légers, mais outrageusement féminin. ses courbes et surtout son visage, ont rapidement cherché une nouvelle orchestration et de rondeurs de gosse, elle est devenue angles et pointes juste là pour séduire les hormones bouillonnants. ses grands yeux félins, ses pommettes appuyées, la forme pleine, lascive, de ses lèvres, tout en riley appelait le fantasme adolescent. même ce corps en formation, sur le point de se nimber d'une harmonie d'artiste. sa nuque, longue et gracile, partiellement dévoilée par une queue de cheval innocente, les petites pommes d'amour, gracieuses et subtiles, qui naissaient contre le tissu de ses t-shirts neutres, sobres. riley le garçon manqué, riley qui voulait être comme eux dans ses désirs féminins incompris, a été mal armée contre ces changements, les regards insistants qu'elle a finalement embrassés les premières années, pour mieux les rejeter.four. le grand bouleversement. elle a quinze ans, riley, a déjà donné ses reins à des garçons et goûté les lèvres glossées de sa meilleure copine pour réaliser ce que son corps savait déjà : ce sont elles qui la font vibrer, pas eux, dont papa et papa sont pourtant les émissaires les plus séduisants. lorsqu'elle quitte l'école, cet après-midi là, riley a encore sur ses lèvres le goût cerise de joey et les battements de son palpitant entre ses cuisses fébriles de ressentir aussi fort. et puis elle est là, cette femme émaciée qui l'attend à la sortie du collège pour lui expliquer qu'elle est sa mère. maman. un nom inconnu à son vocabulaire, dont elle n'a jamais ressenti l'absence, comblée par des parents plus que parfaits. riley, elle a hâté le pas, elle a avalé la distance pour s'éloigner de cette femme qui portait au fond de ses yeux quelque chose qui l'effrayait. pour se préserver du danger imminent qu'elle ressentait au fond de ses tripes. mais aleksandra n'a pas abandonné. Si elle l'a laissée partir, elle est revenue. chaque jour. pendant des semaines, encore plus têtue que sa fille, jusqu'à ce que riley l'écoute et comprenne. jusqu'à ce que sa révélation ne déferle sur elle comme une vague pour la chambouler et la métamorphoser à jamais. five. l'inconnue lui a proposé un café et riley a refusé, déjà assise en tailleur sur un banc, dans l'expectative. elle s'était souvent demandé à quoi pouvaient bien ressembler ses géniteurs mais d'une simple curiosité de môme, sans envie de les retrouver, de les rencontrer. pourquoi faire ? sa famille est là, présente, aimante, c'est auprès d'elle qu'elle a grandi, qu'elle s'est construite, qu'elle a aimé, ri ou pleuré. incapable d'exprimer le malaise qui l'étreignait, elle se contenta d'écouter, plus docile qu'habituellement. écouter la détresse d'une femme abusée par la vie qui la bouleversa bien plus qu'elle ne l'aurait crue. rye, elle pensait entendre des excuses fades et plates, des excuses dont elle ne saurait que faire, des regrets et des justifications bancales sur sa jeunesse, son inexpérience, un manque d'argent et tous les scénarios qui trottaient dans son crâne depuis toujours. mais aleksandra la prit de court, avouant de but en blanc qu'elle l'avait désirée, ardemment, qu'on l'avait arrachée à elle, que ça n'avait jamais été un choix.six sous le regard soucieux de riley, aleksandra s'est racontée sans détour : elle a évoqué l'estonie annexée, dépossédée par l'urss dans un monde qui les rendait invisibles, la pauvreté et puis surtout les interdictions, de rien, de tout, jusqu'à chanter cet hymne qui était le leur. elle a raconté l'ouest comme un rêve, un mirage, une jolie illusion pour aider sa famille mise à mal par les purges, puis les arrestations abusives, ses envies d'ailleurs et son joli visage dont riley distinguait encore les contours. aleksandra a parlé, longuement, avec emphase, d'un pays qu'elle aimait plus que tout. et puis, elle a aussi conté le reste sans pudeur mais sans joie. les promesses de ces étrangers affables, promettant une grande carrière de mannequin à une gamine de dix-sept ans, la fuite clandestine vers la finlande, jusqu'à la terre promesse et l'horreur qui l'y attendait, loin d'un contrat juteux. sans doute l'était-il, mais pas pour elle. gamine sans papiers, incapable de parler anglais, encore vierge, aleksandra s'est retrouvée prisonnière, esclave anonyme d'un réseau tentaculaire. la suite n'est qu'un condensé d'horreurs, jusqu'à elle, l'incident, la rose parmi les orties, qui a décidé de pousser quand même. aleksandra l'a cachée, dissimulant sa grossesse le plus longtemps possible en s'affamant, convaincue que son enfant survivrait. qu'ensemble, elles partiraient loin d'ici, dans cette estonie bientôt libérée d'un oppresseur vaincu. c'était une fille, elle le savait au plus profond d'elle-même. aleksandra l'avait déjà nommée : leelo, poésie, en souvenir de son père emprisonné pour avoir déclamé à tue-tête les plus beaux textes de leur folklore. mais l'enfant lui a été arrachée et aleksandra l'a longtemps crue morte, comme elle l'était déjà à l'intérieur après des années de sévices. jusqu'à la libération, le retour au pays. et puis la renaissance de l'espoir, d'un infime espoir, qui l'a conduite à nouveau à new york à la recherche de cet enfant schrödinger, ni mort ni vivant tant qu'elle n'en aurait pas le coeur net. seven. adolescente ébranlée par ces révélations, riley aurait pu s'effondrer mais là encore, elle a été épaulée par ses parents. ce sont eux, qui ont accueilli la génitrice de leur fille unique pour leur permettre d'apprendre à se connaître, toujours eux qui, par la suite, ont établi la tradition du repas dominical ensemble, les Rose et aleksandra. quand riley a désiré apprendre l'estonien, ils l'ont encouragée, lorsqu'elle a souhaité commencer un sport de combat pour se défendre, ils ont dit oui, oui encore à son engagement à coeur perdu dans la cause féministe et toujours oui pour se lancer dans le mannequinat, dans un besoin de réparer l'irréparable qu'ils comprenaient bien. réaliser le rêve de maman à sa place. eight. quand elle regarde en arrière, riley se demande quelle petite connasse en manque de validation elle a pu être pour se lancer à tête baissée là-dedans. bien sûr, qu'elle raconte à qui veut l'entendre que ce choix de carrière est un hommage à une mère partie trop tôt, bien sûr qu'elle sait faire chialer dans les chaumières et endormir les soupçons. mais la vérité c'est que riley avait envie, de ça. de ce monde de paillettes et de fric facile, de regards énamourés sur son corps et de compliments susurrés contre ses lèvres. c'est arrivé, à force d'hanter les boîtes de nuit, à force d'allumer les sylphides et d'onduler contre des corps sourds. elle a été repérée, farouche et volage, glorieuse dans ses dix-huit années à peine entamées. incertaine de son avenir, rye n'avait postulé que dans un obscur cursus de genre qui lui laissait largement de quoi construire autre chose. et cette autre chose fut les ruines fumantes du mannequinat, le traquenard absolu pour une fille comme elle, déjà trop extrême. riley, elle a plongé dans le milieu et ses travers avec l'aisance d'un poisson dans l'eau. entre les shootings sauvages, elle a baisé à tour de bras des nanas divines mais brisées au-delà du réparable, oubliant la décence qui veut qu'on ne blesse pas une fille fragile, elle a appris à remplacer la bouffe solide par les boissons, par la boisson et a goûté à l'euphorie constante des paradis artificiels. la drogue, y a que ça de vrai pour supporter un monde de merde, hypocrite et lâche, qui passe sa vie à s'auto-congratuler en se regardant le nombril. ça a duré quelques années pour riley, jusqu'à ce qu'elle pète un câble prodigieux en balançant un vaste coup de pied dans cette fourmilière, révélations sulfureuses à l'appui. edward snowden de la mode, le sex appeal en plus, elle a largué des bombes sur un milieu pourri et n'en a conservé qu'un sérieux penchant pour les drogues récréatives qu'elle peine à dissimuler tout à fait. nine. sa présence chez élégance depuis quatre ans relève du concours de circonstance le plus incongru. tout juste diplômée de son cursus qui ne la mènerait jamais nulle part et hantant les bars plus que les entretiens d'embauche, rye était en roue libre la plus totale, entre militer pour la réélection d'obama, draguer des gonzesses et s'occuper de sa chaîne youtube naissante où elle l'ouvrait sur des sujets de société à l'aide d'un langage fleuri. c'est par le biais de sa chaîne qu'une nana l'a invitée à participer à une table ronde sur les femmes et la sexualité, accueillie par ... elegance. la grande gueule de rye a payé puisque quelques semaines après, on lui proposait d'apporter un vent de fraîcheur et d'impudeur à la rubrique sexo. c'était payé à coup de lance-pierres, elle a dû s'acharner à prouver que ce qui sortait si bien d'entre ses lèvres savait également faire mouche à l'écrit mais depuis, la relation entre elle et le magazine est plutôt cordiale. avec son boss ? c'est légèrement plus délicat. dix. rye est végétarienne. rye est féministe. rye est militante. rye a besoin de se sentir exister. rye parle trop fort, fait de grands gestes et s'épuise à être le centre d'attention de son univers entier. rye est négligente, blessante sans le vouloir. rye n'en fait qu'à sa tête. rye porte des t-shirts à messages et des vestes alourdies de pin's. rye collectionne les sneakers. rye a apprivoisé un bébé rat, seul survivant d'une portée après le passage du dératiseur dans l'immeuble de ses parents. rye vit dans un squatt, entre artistes et activistes politiques, que la police traite étrangement avec une courtoisie proche de la bienveillance. rye a longtemps pris des cours de self-defense et envoie n'importe quel connard au tapis. rye a l'insulte facile et les embrouilles au bord des lèvres : personnalité explosive, elle plaît autant qu'elle irrite. rye est charnelle et la monogamie lui semble une punition de tous les instants, quand l'amour passion se dissipe un peu.

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Joana Griffin
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MessageSujet: Re: storm with skin (riley)   storm with skin (riley) EmptySam 28 Avr - 22:52

BIENVENUE AMOUR DE OIM
t'es fraiche
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MessageSujet: Re: storm with skin (riley)   storm with skin (riley) EmptySam 28 Avr - 23:13

omg omg j'ai tellement hâte de vous voir rp
bienvenue sur btbt storm with skin (riley) 3194320480
excellent choix d'avatar storm with skin (riley) 1157433633
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Lucy Malone
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MessageSujet: Re: storm with skin (riley)   storm with skin (riley) EmptySam 28 Avr - 23:18

Bienvenue et bon courage pour ta fiche! I love you
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MessageSujet: Re: storm with skin (riley)   storm with skin (riley) EmptySam 28 Avr - 23:55

bienvenue parmi nous storm with skin (riley) 743710842 storm with skin (riley) 2478954800
queen kravizt storm with skin (riley) 4164614349 marry me storm with skin (riley) 2745410074
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MessageSujet: Re: storm with skin (riley)   storm with skin (riley) EmptyDim 29 Avr - 0:55

merci de l'accueil les gars
j'espère qu'on pourra rp à blinde ensemble I love you
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MessageSujet: Re: storm with skin (riley)   storm with skin (riley) EmptyDim 29 Avr - 13:42

bienvenue storm with skin (riley) 397045100
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MessageSujet: Re: storm with skin (riley)   storm with skin (riley) EmptyDim 29 Avr - 16:14

t'es parfaite épouse-moi stp
storm with skin (riley) 1157433633  storm with skin (riley) 1157433633
même si t'es en cloque
je te veux quand même  storm with skin (riley) 472670223  storm with skin (riley) 539332567  storm with skin (riley) 16856367
(c'est tout bon pour moi storm with skin (riley) 3758347608)
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MessageSujet: Re: storm with skin (riley)   storm with skin (riley) EmptyDim 29 Avr - 16:20

bienvenue ici storm with skin (riley) 3194320480
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MessageSujet: Re: storm with skin (riley)   storm with skin (riley) EmptyDim 29 Avr - 17:18

Ta fiche m'a tellement fascinée, même chamboulée. Elle est tellement bien écrite que j'en perd mes mots, puis Rye est exceptionnel. Franchement, j'ai adoré lire ta fiche, mais tellement storm with skin (riley) 1357230341
Je valide mon chat storm with skin (riley) 408973955
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