||Léon|| Jeune et con.

nom complet — Léon Vladislav Belikov âge et lieu de naissance — 23 années d'écoulées de puis le 18 mars 1995 nationalité et origines — Américain de nationalité, ce n'est que du sang russe qui coule dans ses veines, du moins pour ce qu'il en sait. orientation sexuelle — Les femmes et leurs lèvres qui frôlent les siennes, les femmes et leur cambrure contre ses mains. statut civil —Le coeur déjà prit, mais le corps qui va ailleurs. Trop paumé pour avouer ce qu'il ressent. occupation — Le piston familial lui a offert un poste de mécano dans un garage, mais pour le côté moins officiel, des courses de moto illégales et la revente de quelques drogues lui remplissent un peu les poches. situation financière — Ni riche ni pauvre, il se démerde avec ce qu'il a. situation familiale — Un père, une soeur, un oncle et à côté des grands parents retournés en russie. Pas de mère ? Non, partie trop tôt au prix d'une autre vie. traits de caractère— Paumé - Loyal - Passionné - Dépendant - Fêtard - Jaloux - Possessif - Aimant - Protecteur - Casse-cou - Bagarreur - Lâche - Attachant avatar — Yuri Pleskun groupe — Hot chocolate

QUELLES SONT VOS qualités DANS VOTRE TRAVAIL ? Pour Léon, lui trouver une qualité au boulot, c'est pas ce qu'il y a de plus simple. Feinéant la majorité du temps, peu ponctuel, plus dormeur que bosseur, on pourrait au moins admettre que lorsqu'il décide de s'y mettre enfin, il devient très appliqué et attentif. Mais on le verra plus souvent au garage pour sa propre moto souvent esquintée lors des courses auxquelles il participe que pour le reste.

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ET QUELS SONT VOS défauts ? Le jeune, il bosse quand il veut et le temps qu'il veut, c'est à dire le moins possible. Ayant tendance à s'y mettre que lorsque les moyens financiers commencent à manquer. Ses patrons étant sa famille, il risque peut d'avoir droit au licenciement. Il montre peu d'intérêt envers son travail, étant rarement sur place, il est loin d'être le mécano du coin sur qui on peut compter. Il préfère bien plus le côté facile de ses petits boulots moins légaux.

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QUE PENSEZ-VOUS DE LA compétition ENTRE ELEGANCE ET COSMOPOLITE ? Le russe n'y a jamais vraiment prêté attention, s'il évite ou fuit déjà au maximum les prises de tête dans sa propre vie, ce n'est pas pour se mêler de celles des autres. Mais s'il devait donner son avis sur cette compétition faisant la une des journaux, c'est qu'au moins, elle crée de l'ambiance.
A QUEL MAGAZINE VA VOTRE préférence ? Léon ne suit ni l'un, ni l'autre. La mode et autres sujets futiles, à ses yeux, dont ils peuvent parler le pousse à s'en désintéresser, cependant, il peut lui arriver de jeter un oeil à la rubrique voyage du Cosmopolite pouvant le faire rêver, mais il sera toujours un peu du côté d'Elégance, ses liens avec la belle Lylia l'influencent, cette dernière travaillant pour ce magazine.

Le russe a rejoint l'Amérique dans les bras de sa mère alors qu'il n'avait qu'à peine plus d'un an. Ses parents, tout comme son oncle et ses grands parents souhaitaient trouver une vie meilleure, ce que les USA ont su leur offrir. La dizaine d'année atteinte, les grands parents, ayant suffisamment gagné leur vie et ressentant le manque du pays natale par le biais de la nostalgie, décidèrent de retourner en russie. Petit déchirement pour ceux qui restaient, mêlé d'une évidente compréhension. Ne pouvant se sentir dépaysé sur les terres des états-unis, étant arrivé trop jeune pour ressentir ça, l'enfance de Léon fut passée sans trop d'embûches, seul le parfum de l'alcool dont la maison familiale était imprégnée imposait une gêne. Car, qui voudrait présenter à son petit groupe d'amis un père et un oncle aux nez devenus rouges pour avoir trop bu encore une fois ? Et le jeune n'avait que 17 ans, lorsqu'il entendit que sa mère n'avait pas survécu à son deuxième accouchement. Ce jour devait être heureux, festif, fait de sourires et de larmes joyeuses, mais ces dernières n'ont été que tristesse. Si un joli enfant blond avait su venir au monde en pleine santé, la mère, elle, enchaîna des complications qui lui feront perdre la vie. Une naissance et une mort. Remplit de tristesse et de colère, le jeune Léon refusa, à cet instant là, de poser un regard de plus sur le petit bout qui venait d'être mit au monde. La rancoeur, la tristesse, le mal-être, le manque d'une mère. Sales sentiments qui ne manqueront pas d'affaiblir Léon. Guidant celui-ci vers les mauvais choix. Si jusque là, le jeune homme avait pour habitude de ne fumer qu'un petit joint de temps en temps, lors de soirées entre potes, sa consommation en deviendra moins modérée. Se vider la tête, faire le con, s'amuser au dépend du reste. Se battre avec un autre mec pour un regard qui n'aurait pas plu car, face à la frustration, se défouler ça fait du bien. Subir les gardes à vu, esquiver les amendes car finalement "l'ennemi" retire sa plainte. Ne pas se contenter d'un boulot honnête et prendre goût à la revente de came, ou aux courses illégales qui offrent un allé-retour à l'hosto' en cas d'accident... Bref, un être vous manque et tout devient un bordel. Heureusement il y a la bande, Oliver, Lylia, Merrin et les autres. Dont la présence apaise et rassure. Et Léon il ne c'est jamais autant senti autant à sa place ailleurs qu'auprès d'eux. Ils sont sa deuxième famille, prêt à tout pour ne pas les perdre, pour que le groupe ne se fissure pas. Ensemble, ils aiment bouffer de la pizza et boire des bières. Sortir s'amuser librement, faire les cons ou sagement rester devant un écran pour finir une énième fois leur jeu-vidéo favoris. Il les aime, Léon, il est accroché à ces six jeunes d'environs le même âge qu'il a su apprendre à connaître au fil des années. Sans eux, aucun doute que le russe aurait fini bien plus bas. Et c'est bien grâce à eux tous que Léon finira par accepter la mort de sa mère et son rôle de grand frère. Hedwig, petite tête blonde adorée. D'abord reniée par son grand frère pour être née le même jour que la mort de leur mère, l'adorable bouille saura faire fondre les coeurs glacés. Et Léon, il aimerait lui offrir une meilleure vie, à sa petite soeur, que cette place dans cette maison trop petite et trop pleine d'alcool. Il maudit son père et son oncle de boire autant. Cliché russe comme dirait d'autres. Ces membres de sa famille qui aiment marquer son visage de bleus quand les effets de l'alcool sont trop présents parce qu'il rentre trop tard ou qu'il n'a pas suffisamment travaillé. Et puis le jeune qui s'en fout des coups, car c'est pas la violence qui le changera. Passages sombres de sa vie, paradoxaux aux heures de rire qu'il partage avec eux. Pas méchants, mais trop dépendants, la situation familiale est autant un bordel que le cerveau de Léon. Et ce dernier espère fortement qu'un jour, il puisse sortir sa petite Hedwig de ce capharnaüm. Il veut une belle vie pour sa douce petite princesse qui ne connaîtra jamais sa mère. Merrin. Nouveau drame qui s'amène. L'annonce d'un cancer, l'envie de se battre pour elle, l'envie de prier pour qu'elle survive face à la maladie. Les larmes qui montent lorsqu'on la voit sur son lit d'hôpital. Maudir le mal dont elle souffre et les nuits perturbés par la peur qu'à son tour, elle parte. Léon souffre et pleure en secret et c'est des sourire qu'il lui offre chaque fois qu'ils se revoient, la promesse que tout s'arrangera. Que faire d'autre ? Il est si douloureux d'être impuissant. Et une autre vie, si précieuse, qui s'envolent et la bande qui s'effondre. Les pleurs qui ne cessent pas, un enterrement insupportable à vivre. La drogue se fait d'autant plus importante dans la vie de Léon, maîtresse de la manipulation qui lui tend la main, le sourire sadique. Tentation néfaste à laquelle il n'arrive que peu à résister. Combattre le mal avec un autre mal. Solution tristement bête, mais aucune autre alternative de visible. Merrin était belle, était douce, petit joyeux auquel on ne pouvait que s'accrocher. Merrin manque, son agréable présence difficilement remplaçable. Mais elle a beau ne plus être là, sa place dans la bande sera à jamais éternelle. Et il y a Lydia. Toute la bande est proche. Mais Lydia et Léon, c'est pas pareil. C'est de l'amour et du déni. De la tendresse et de la torture. C'est de la passion et de la peur. On s'aime, mais on se fuit. Ce qu'il y a dans le coeur, jamais avoué. Si l'autre n'est pas là il manque, si l'autre préfère d'autres bras, alors le poison de la jalousie envahie et pousse à s’entre-déchirer, jusqu'à la prochaine réconciliation. Un premier échange charnel lors d'une nuit arrosée et depuis tout a changé. Mais comment cela finira... ? Puis, dans la vie de Léon, il y a aussi sa chère caméra, payée de sa propre poche et qui ne le quitte pas. Léon aime immortaliser les belles choses, les beaux moments. Ses enregistrements pouvant aller de ses deux blondes favorites jusqu'aux feuilles d'automne qui s'envolent. Léon c'est un rêveur, il aime rester perché à sa fenêtre pendant des heures, à l'écoute du vent. Grand calme paradoxale avec son esprit bordélique. Il est spécial le russe, mais c'est bien pour ça qu'on l'aime.